Mamoiada

Mamoiada est un village de 2.600 habitants, situé
au nord de la chaine des montagnes du Gennargentu et coeur palpitant de la Barbagia de Ollolai. C’est un village simple et laborieux, devenu fameux dans le monde entier grâce aux Mamuthones et Issohadores, mais qui reste toujours gravé à l’etranger, S’istranzu, pour son unique hospitalité et les anciennes traditions, énergie du presént, âme indélébile du passé. Ici les gens sont encore vrais, faits de choses simples et modestes.
Itinéraires gastronomiques à l’interieur du village oú il y a encore ceux qui preparent le pain, fromage et gâteaux avec des formes uniques et archaïques.
Visite aux anciennes caves de vin, dans lesquelles s’éleve le bouquet du Cannonau, nectar des Dieux, et aux laboratoires dans lesquels on entend le rythme résolu des artisans : menuisisers, en patois mastros de linna, et forgerons, en patois mastros erreris.


 

 

Itinéraires culturels : Visit au Musée du Masque de Mamoiada

« Celle des Mamuthones, est une cérémonie solennelle, ordonnée comme une procession, qui, en même temps, est une dance » (R. Marchi).
Un voyage culturel parmis les masques les plus représentatifs du carnaval barbaricino, temoins d’un ancien rite dionysiaque avec les saveurs sanglantes et sauvages.
Une salle multivisuelle projectera le visiteur entre les feux allumés de St. Antonio Abate, première sortie des Mamuthones et Issohadores, et entre les rythmes misterieux et frénétiques du carnaval de Mamoiada oú le monde de chaque jour se renverse, en donnant espace á l’euphorie et á la transgression.
A’ suivre une importante comparaison entre masques qui viennent de la Gréce, de la Slovénie et de toute la Mer Méditerranée.
Signes et symboles indélébiles de civilisation communicantes inspirée á Dionysos et au culte des saisons.

 

 

 

 

 

Itinéraires Archéologiques : Entre histoire et légendes.

Entre les collines et les bois de Mamoida se cachent remarquables signes de civilisations lointaines et charmantes qui datent au XV-XIII éme siécle avant Jesus Christ. Le nuraghe de Monte Juradu , solennel gardien des montagnes, contemple les valleés enchantées de Mamoiada oú Sas Perdas Longas (Menhirs) s’alternent aux mystérieuses maisons des Fées, Sas Domus de Janas.
Parmis les plusimportantes, á quelque kilometre du village on peut trouver les Domus de Istevene, dans lesquelles, sur leurs murs de granite, est incise une schematique tête de taureau, symbole de force et de fertilité.
Entre les cércles concentriques de Sa Perda Pinta’, stele solitaire de Boeli, il y a l’âme du passé et le tressage avec peuples lointains, les Celtiques. Spirales magiques, et incisions indélébiles qui se reconduissent aux peuples du Néolithique, parmis les quelles était diffusé le culte de la Déesse Mére, porteuse de fertilité et abbondance.

 

Excursion naturalistes et environnementales : Pour les amantes du trekking.

Promenades écologiques, á pieds ou en mountain bike, á la découverte des rythmes lents et solennels des bergers de la Barbagia. Rechercher les secrets d’un ancien monde, ou un profond silence s’arréte seulement aux cours d’eau, et á la decouverte d’un lieu unique et immortel ou la nature est encore intacte, la campagne. Les sentiers des bergers, sos pastores, nous accompagent dans un rude paysage de montagne, oú le parfum des bois se tresse avec les couleurs vives des vignetes, les mains des bergers travaillent avec patience, et c’est entre les silences des pâturages que leur travaill se transforme en art : tondaison et traite des brebis sont habiletées uniques, la vendage un métier ingénieux.
C’est exactement d’ici que naît le goût unique et fort du pecorino, le bouquet unique et enivrant du vin Cannonau. A’ la découverte de la vie de la campagne : la vendange, la tondaison, l’art de faire le fromage et la brousse, journées dans la bergerie et déjeuners avec les bergers.

 

 

 

Mamoiada et environs :
Murales de Orgosolo

A’ quelque kilometre de Mamoiada un suggestif et unique trésor culturel sculpté dans la memoire : les fameux murales qui décorent les maisons dans le centre historique de orgosolo et qui témoignent scénes de la vie quotidienne, oú plutôt l’histoire de ce village. Un’espace de livre photographique, avec des images de la vie réelle, la souffrance, l’oppression, la douleur des gens de la Sardaigne, et tous les opprimés dans le monde. Il y a plus de 250 murales ; le premier remote au 1968, mais à partir du 1975, avec l’intervention de Francesco Del Casino, cette forme d’art devient encore plus populaire.

 

 

 

 

La montagne de Badde e’ Salighes

Ce n’est pas seulement culture er tradition, mais aussi itineraires diversifiés par les amants de la montagne et de l’aventure. La Cascade de Mularza Noa, et les sources de Ortachis, sentiers d’eau cristalline que conduisent vers lieux enchantés, à la recherche des anciens sentiers de montagne, de Nuradurzu à Punta Palai (1.200 mt.), un endroit d’oú on peut jouir d’une route panoramique qui comprend la moitié de la Sardaigne, du Golfe de Oristano aux Bouches de Bonifacio.
Beaucoup de sites archeologiques et mystérieux Nuraghi : Sos Pabattolos, Tittirriola, Funtanasidda, maisons de pierres oú le temps est seulement un’illusion. Le parfum des bois solitaires, oú les ifs millenaires sont les gardiens d’un paysage avec un charme trés émouvant, se tresse avec les couleurs vives de rares animaux, gardiens indiscutés des montagnes de Badde ‘e Salighes.
On peut jouir de la paix des douces collines qu’embrassent le village de Bolotana, riches étendues d’oliveraie, potagers et vergers, l’âme des ces gens.
A’ la mémoire historique de Bolotana appartient la figure de l’ ingénieur anglais Benjamin Piercy et son homonyme résidence, la villa Piercy, sentinelle discréte du silence de Badde Salighes. Celle ci a été construite en 1880, elle est entourée d’un charmant jardin, dont l’éstampe est anglosaxone, et fier d’avoir tant de plantes provenant de plusieurs endroits du monde entier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   
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